Un frère enceinte ses propres sœurs et quitte la maisonFICTIONS 

Il enceinte la femme de son père.

L’histoire aussi triste et riche en rebondissements que nous allons vous soumettre, est une réalité. Les prénoms utilisés sont des emprunts pour garder l’anonymat de ses auteurs. Il s’agit d’une histoire vraie que vit une famille où le père a perdu la mère de son fils qui vit en dehors de son pays, qui rentre en famille et trouve une jeune demoiselle qui tombe amoureuse de lui et nous allons vous raconter ce calvaire.

Le vieux Sékou est un homme respecté dans la ville et tout le quartier lui voue considération.

Yssa vit loin de sa famille pour des études. Sa mère Fatou est morte à la suite d’une longue maladie. Chez les musulmans, on n’attend pas longtemps, une fois que la mort est constatée, on passe à l’inhumation et c’est son cas. Il n’a pas vu les derniers instants de vie de sa défunte mère et même la cérémonie du 40ème jour, il ne l’a pas vécue. Il en a gros sur le cœur.

Le père d’Yssa a été nommé, imam de la grande mosquée de son quartier et il a ouvert sa boutique qui marche très bien.

Après la mort de sa femme, son entourage se propose de lui faire la morale afin de se trouver une femme pour lui tenir compagnie. A force de lui travailler le corps, il accepte de se mettre en ménage avec une jeune fille intellectuelle, tellement sublime. Saly est cette jeune dame qui va retenir l’attention du vieux Sékou.

Les deux sont mariés, déclarés devant les autres imams du quartier. Les préparatifs ont été denses et collectifs.

Tous les musulmans ont contribué à la fête. La fête a été belle et tout le monde sait désormais que le vieux imam Sékou est marié et sa nouvelle épouse se nomme Saly, la fille de son meilleur ami Adama. 

Il y a plusieurs mois que le couple s’est formé, mais il n’y a pas d’enfants qui sortent de leur amour. Le vieux a fait tous les tests, le mal vient de lui car son sperme n’est plus fort pour féconder, mais il n’ose pas l’avouer à sa jeune épouse qui n’en a pas et elle est hantée par ce handicap. Ses copines ont commencé à se moquer d’elle. La plupart de son âge ont déjà des enfants avec qui, elles jouent en se moquant de la femme du vieil imam Sékou.

Saly a obtenu un rendez-vous avec le médecin-traitant, qui lui a recommandée un gynécologue pour en savoir davantage. Elle va apprendre que le sperme de son mari n’est pas suffisamment et assez fort pour résister à la pénétration dans le fœtus de la femme et donc, il ne peut plus procréer. Elle voudrait savoir si par le mécanisme in vitro ça peut marcher. Ils ont tenté cette innovation, impossible, mais elle ne manque de rien. Elle a tout. L’argent à gogo pour la soutenir et le vieux est aux petits soins de sa jeune dulcinée.

Une belle villa, ce qu’en Europe on appelle pavillon où tout y est. Un petit espace où le vieux a posé le portrait de sa femme défunte.

Yssa a fini ses études et doit regagner son pays où se trouve son père, mais il ne pouvait pas songer trouver une jeune dame belle instruite qui est la nouvelle femme de son père, sa marâtre qui s’occupe des affaires commerciales de celui-ci.

L’imam informe ses fidèles de l’arrivée de son fils, qui avant de venir au pays, est allé à la Mecque pour accomplir son dernier pilier de l’islam, le patelinage. Yssa est devenu El Hadj Sékou Yssa, malgré son jeune âge et tous les fidèles rêvent de le voir. 

Il faut dire que dans la religion musulmane, celui qui a accompli son pèlerinage à la Mecque devient de facto, un musulman à part, haut gradé donc le fils de l’imam qui arrive est attendu et déjà, il attire la curiosité des jeunes garçons et jeunes filles. L’imam a montré sa dernière photo de son fils, quand il séjournait à la Mecque, avec tous ses attributs sur la tête et ses costumes.

Le jour de son arrivée, l’imam est empêché et se fait représenter par son chauffeur et sa femme d’aller le chercher à l’aéroport. L’avion a pris un léger retard, mais il a fini par atterrir et le jeune flambant neuf, sort avec ses attributs de El Hadj. 

Quelque chose vient de se produire déjà et la première à le sentir, c’est bien sa marâtre. Elle est assise derrière et son « fils » à côté du chauffeur. Le cou de foudre est né, comme un électrochoc.

La voiture prend le chemin de la nouvelle maison que El Hadj ne connaît pas puisqu’elle a été construite en son absence. Le chauffeur fend l’air chaud de la ville que El Hadj découvre dans son évolution pour sa modernité, avec l’architecture de ces maisons qui lui rappellent celles d’où il vient, mais c’est tout de même surprenant de voir que l’évolution a atteint ses parents. La grande artère est bitumée avec des poteaux électriques de chaque côté et les gens marchent, presser. Il voit que la conscience du développement du pays fait son effet et il en est heureux et fier.

De virage en virage soudain, le chauffeur s’arrête devant un grand portail métallique et un gardien vient pour l’ouvrir et c‘est chez eux. Il est émerveillé. On court lui ouvrir la portière et sa « maman », l’invite à entrer dans le salon.

Il a en main, son chapelet qu’il égrène à tout moment. Il découvre les efforts de son père et regrette l’absence éternelle de sa mère, dont le portrait est posé sur une petite table. Elle ne vit plus.

Le même jour, elle lui indique sa chambre. Yssa croit que c’est la sienne et il y pose son coran, sa petite valise. Pendant qu’il est en train d’admirer sa chambre, elle rentre pour lui faire ses civilités de manière très attentionnée.

Elle est dans une robe bien moulante, de couleur rouge, avec un léger maquillage, les cheveux tressés à l’africaine qui lui dessinent une belle silhouette. Elle est de nature charmante, séduisante, belle. Son visage posé sur un cou strié, le nez pointé entre deux belles joues légèrement gonflées, qui lui dessinent un beau sourire qui dresse la suite sur un menton de pharaon. La seule blancheur de ses dents, ne laisse personne indifférent et elle va mettre tous ces atouts pour séduire le fils de son mari qui rentre de longues années d’études de l’extérieur et qui ne connaît plus rien.

Elle a préparé un bon plat aux senteurs aromatiques du pays et les deux se mettent à table. Comme elle sait qu’il est un grand pratiquant, elle a demandé aux serveurs de remplir les carafes de jus pressés naturels. Un grand écran plasma est fixé sur le mur qui distille de la musique du pays et tantôt de l’information.

Yssa est allé prendre un bain et à son retour, dans un boubou blanc édulcoré de quelques brillances au niveau du col, s’assoit sur le bord du lit. Le temps qu’il ressorte, Saly aussi s’est absentée pour se remettre dans une petite robe très sexy, qui laisse entrevoir, ses belles cuisses, sa poitrine onctueuse et bien en point, le teint noir sans aucun blessure de produits cosmétiques éclaircissants, qui marque le début de la séduction. C’est vraiment la femme africaine au sens noble du terme. Elle a cette forme de guitare solo. En fait, c’est dans une dentelle rose comme une robe de nuit, qu’elle sort à son tour et les choses vont s’accélérer.

Elle rentre l’appeler pour l’inviter à table. Ils sont deux et le personnel de maison, en pareilles circonstances, n’attend qu’on l’appelle pour surgir. Notre étranger innocent, voit une belle créature devant lui, à table, lui donnant tous les soins possibles. Il en est flatté et heureux, ne sachant ce qui se cache derrière toutes ces attentions.

C’est pendant le repas qu’elle lui demande les nouvelles et les deux échangent comme s’ils se connaissaient depuis des lustres. Ce que femme veut, elle y met tout pour parvenir à ses fins. A vrai dire, pour ce qu’elle est, son père n’aurait pas dû se l’approprier comme épouse. Elle est trop jeune, séduisante et belle. Quant à son père dont l’âge dépasse celui du père de sa femme, il aurait dû prendre, une femme un peu plus âgée mais Saly est trop jeune qui n’a pas arboré sa jeunesse. C’est une femme dont on passerait tout le temps à lui égrener de la poésie pour l’endormir, mais c’est le choix de son père absent.

Le déjeuner se passe très bien et Yssa l’a beaucoup apprécié. A la fin, elle le convie au grand salon où est posé le portrait de sa défunte mère qui ne gène aucunement, la nouvelle épouse de son père. Il passe tout son temps à l’admirer et lui réciter quelques sourates en guise d’implorer le tout puissant, à lui réserver, un bon repos éternel. C’est en ce moment précis qu’elle rentre dans sa chambre et en ressort avec une nouvelle tenue plus sexy. Elle a su garder les poils de ses aisselles et quelques poils jouissent sur ses belles cuisses, surtout sur ses jambes. En tout cas, Saly est une belle femme qui a besoin de vivre.

Elle rentre dans sa chambre et met un comprimé somnifère dans un ver, qu’elle remplit à moitié, genre s’il a soif, il en boirait. Il sent la fatigue et elle le laisse aller dans sa chambre. 

C’est maintenant que le père de là où il est, a pu avoir le réseau et appelle pour avoir les nouvelles de son fils. Elle le rassure qu’il est bien arrivé. Il a mangé. Mais étant épuisé par le voyage, il s’est rendu dans sa chambre pour se reposer. Le père, heureux, remercie sa dulcinée. 

Entre-temps quand il venait, il s’est acheté une gourde à la Mecque dans laquelle il avait mis son eau et Saly va croire qu’il en a bu. Elle attend quelques minutes et rentre à son tour dans la chambre, Yssa dormait profondément. Elle se glisse sous la couette. Sans aucun caleçon, mais en robe voyante, transparente. Yssa, comme à son habitude, dort avec un boubou sous-corps.

Elle est à poils. Le jeune homme sent la présence de quelqu’un qui cherche son sexe pour une pénétration. Il se réveille soudain et voit la femme de son père à poils devant lui, le suppliant de lui faire l’amour car son père étant fatigué, n’arrive plus à la satisfaire. La surprise est de taille. Il se frotte les yeux comme si c’était dans un rêve, eh bien c’est la réalité Yssa. Mais on dirait qu’elle a réussi à faire pénétrer son sexe dans le sien, celui de sa belle-mère.

Quelques jours après, le vieux arrive de son voyage avec tellement de présents dans le coffre de sa voiture 4X4, de couleur grise pour faire plaisir à son fils qu’il n’a pas vu depuis des années. 

Il arrive et imaginez-vous la suite.

Ainsi, s’ouvre la nouvelle vie dans le grand pavillon. Madame se sent heureuse, mais semble éloigner son mari et le jeune homme ne sait plus quoi faire. Le lendemain vendredi, son père l’emmène avec lui à la mosquée et il y fait la risée. Toute la communauté prie pour sa bienvenue. Ce vendredi, la collecte a été abondante pour aider leur imam à recevoir son fils.

Pendant ce temps, à la maison, le ton change. Saly, pour peu, rétorque violemment à son cher époux et le jeune homme ne supporte pas, ces genres d’attitude. Il va le lui faire savoir et elle se met à pleurer, comme si, on venait de lui enfoncer une pointe dans son corps plein de plaisir. Le vieux ne comprend plus rien. 

Elle a commencé à cracher n’importe comment et son mari l’envoie chez le gynécologue pour en savoir davantage et on lui annonce que sa femme est enceinte. Lui qui ne féconde plus, avec qui, sa femme a contracté cette grossesse? Il est imam. Il n’en dort pas. A aucun moment le soupçon pouvait peser sur son fils qui vient d’arriver et n’a pas encore le temps de prendre ses marques, alors qu’il lui a trouvé une belle fille, celle de son meilleur ami. Il attendait le moment pour le lui annoncer.

Les mois passent. Saly prend du ventre et toute la communauté est heureuse. L’imam est félicité de partout pour l’arrivée de son futur bébé. Comment cela a pu arriver? Saly se rend seule chez le gynécologue pour en savoir davantage. Il la diagnostique à nouveau pour confirmer la présence d’un bébé en elle. Il va lui poser quelques questions et elle-même est surprise. A un moment, elle dit tout à son gynécologue que sans doute c’est à la suite d’un petit rapport avec le fils de son mari qu’elle a dû contracter cette grossesses, mais qu’elle n’est pas prêtre à faire un avortement, elle garde son bébé, advienne que pourra.

Le gynécologue va enfin s’introduire dans l’entretien de cette grossesse et supplie la dame, de vivre convenablement avec le vieux pour ne pas laisser planer des doutes sur son fils. Le vieux est très heureux qui, à son tour, va chez le gynécologue pour en savoir davantage et avoir le cœur net. Ce dernier va le rassurer de ce que les médicaments qu’il lui a dit de prendre ont fait leurs effets.

Il met tout à la disposition de sa femme qui a besoin d’une attention soutenue en pareilles circonstances. En sa qualité d’homme d’affaires, il voyage beaucoup et confie sa femme à son fils, d’être à son écoute et à surtout à ses soins. Un soir à table, elle lui avoue que la grossesse est à lui, car la fois où il l’a vue nue, elle avait réussi à introduire son sexe en elle et il y a joui. Il tombe des nues. Mais elle le rassure, que cet enfant restera et fera le bonheur de la maison qui en a besoin. Saly a maintenant plusieurs mois et son ventre a poussé. Sa grossesse va tellement bien avec elle, qu’elle est devenue encore plus sublime, attirante. Un soir, en l’absence de son père, elle s’introduit à nouveau dans la chambre du futur père de son bébé et cette fois, les deux se donnent à coeur joie dans un amour féroce et ils prennent goût.

Saly vit désormais entre deux maris, le père et le fils. 

                         Joël ETTIEN 

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